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Mais sur mon cœur, il est tombé
La couleur rose de tes pensées
Et notre histoire a commencé
Sans peur
Au milieu des gens animés
Nos esprits se sont amusés
Quelques regards auront laissés
Sans heurt
L’autre, celui qui transforme le temps
Celui qui vous comprend vraiment
Une empreinte posée par hasard
Au détour de nos grands espoirs
SUR MON COEUR
Dans cette folie froide et amère
Un petit vent, un souffle d’air
Donnant à nos vies ordinaires
Une force
Créant aux rythmes de nos cœurs
Un élan venu de naguère
Effaçant tout ce secondaire
S’efforce
L’autre, celui qui transforme le temps
Celui qui vous comprend vraiment
Une empreinte posée par hasard
Au détour de nos grands espoirs
L’autre celui qui transforme le temps
Celui qui vous comprend vraiment
Une empreinte posée par hasard
Au détour de nos grands espoirs
Mais sur mon cœur, il est resté
Une lueur tendre et sacrée
Et notre histoire a continué
Sans leurre
Sur les visages se dessinent
Des traits d’humeur sans origine
Je vois quelqu’un qui me devine
Peut-être que j’attends un signe
Et dans ses yeux, pas de lumière
Il a du passer 3 hivers
Y’a des remous qui rendent amer
Sur fond de bleu, j’vois plus la mer
J’ai l’impression d’un monde à l’envers
La sensation que je vais manquer d’air
J’ai l’impression d’un monde à l’envers
Y’a qu’des figures sans caractère
UN MONDE A L ENVERS
Comme le manteau de l’indifférence
Coûte bien moins cher à enfiler
On ne se demande plus pourquoi
Ou est donc l’amour ici-bas
Comment est-ce qu’on a oublié
Ce que veut dire de partager
Qui ainsi nous a transformés
Au point de n’plus pouvoir ôter
J’ai l’impression d’un monde à l’envers
La sensation que je vais manquer d’air
J’ai l’impression d’un monde à l’envers
Y’a qu’des figures sans caractère
Cette écharde qu’on a dans le cœur
Celle qui fait mal, qui fait saigner
Faudrait qu’on puisse nous l’arracher
Mais pour ça, il faudra donner
Dès lors que la porte est fermée
Non pas fermée mais verrouillée
Comment faire pour nous délivrer
Recommencer et tout changer
J’ai l’impression d’un monde à l’envers
La sensation que je vais manquer d’air
J’ai l’impression d’un monde à l’envers
Y’a qu’des figures sans caractère
J’ai l’impression d’un monde à l’envers
Si nous regardions la misère
Au pays du tu auras mieux
Rendus au rôle de malheureux
Cachée dans une rue
La petite fille dort
Isolée et déçue
Elle ne sait pas encore
Dénigrée par ses pères
Elle se dit qu’elle a tort
Oubliée par ses frères
Son amour vaut de l’or
Elle ne peut pas comprendre
Ce qu’on ne lui trouve pas
Elle ne veut pas entendre
Ce qu’elle défie parfois
Elle ne peut pas vouloir
Vivre dans ce désespoir
Juste un peu d’aide et de pain
Je lui donne déjà les miens
L OUBLIEE
Tant de murs qui se dressent
Aucune porte ne s’ouvre
Et de haine en détresse
Aucun mot elle ne trouve
Cachée dans une rue
La petite fille meurt
Oubliée et perdue
Il était déjà l’heure
Elle ne peut pas comprendre
Ce qu’on ne lui trouve pas
Elle ne veut pas entendre
Ce qu’elle défie parfois
Elle ne peut pas vouloir
Vivre dans ce désespoir
Juste un peu d’aide et de pain
Je lui donne déjà les miens
Je lui donne déjà les
miens
Dans cette absence ma déchirure
J’écoute les échos de mon cœur
J’ai tant cherché cet amour sur
Toi oui toi, mon âme sœur
Et dans ce décor je t’espère
Tout près de moi de ma fureur
Alors je t’attends et me perds
Te rêvant toi, mon âme sœur
Coule l’eau le long de mes sanglots
Souffle l’air au travers de mes peurs
Brûle le feu en moi de ta peau
Redescends sur ma terre mon âme sœur
Dans ce présent plus de blessure
Je respire ton corps, ta douceur
Notre univers unique et pure
Tu es tout près, mon âme sœur
Dans cette alcôve, quelques murmures
De nos deux êtres, l’amour majeur
Personne au monde pas même la peur
Ne peut m’arracher mon âme sœur
MON AME SOEUR
Flotte dans l’air, amour infini
Envahit la lune, toi l’inédit
Empreinte de nos échanges du cœur
L’un et l’autre blottis comme deux âmes sœurs
Des âmes sœurs
Des âmes sœurs
Des âmes sœurs
Des âaaames sœurs
Je m’suis fait une maison
Dun essaim de lumière
D’un abri pour chansons
D’un geste pour la terre
Je m’suis fait une maison
Comme on rêve un printemps
Entre rires et frissons
Sur le trèfle des vents
Je m’suis fait une maison
D’une histoire sans parole
D’un amour d’occasion
Et d’un baiser frivole
Je m’suis fait une maison
Une parole sans histoire
Un poème hors saison
Et d’une chanson d’espoir
LA MAISON
Je m’suis fait une maison
Sur ma maison chimère
N’a rien d’une maison
Qu’on fait d’avec des pierres
Je m’suis fait une raison
Sur ma maison à moi
N’a pas toute sa raison
Et n’ressemble qu’à moi
Je m’suis fait une maison
Où le toit n’a de moi
Que quelques mots d’amour
Que quelques mots d’amour
Si douce comme une caresse
Un cadeau inattendu
Mais pourtant déjà me blesse
Je la sais en vain perdue
Enivrante par sa présence
Elle se joue de ses absences
Oh ! Belle amante qui danse
Autour de moi en alternance
C’est la rose des vents
Une rose imaginaire
Fait quelques pas en avant
Dans les couleurs du temps
C’est la rose des vents
Compagnon trop éphémère
J’ai du y croire pourtant
Et je la rêve tellement
La rose des vents
Si belle avec ses promesses
Une amie qui me console
Mais ses épines me blessent
Et déjà rien ne me console
Si jalouse et si fière
Tant et plus elle me dévore
D’humeur pourtant légère
Humm ! Me trompe alors
LA ROSE DES VENTS
C’est la rose des vents
Une rose imaginaire
Fait quelques pas en avant
Dans les couleurs du temps
C’est la rose des vents
Compagnon trop éphémère
J’ai du y croire pourtant
Et je la rêve innocemment
La rose des vents
C’est une rose éternellement
Elle est fanée mais elle vit encore
Dans ma mémoire éperdument
Elle est partie et je l’aime encore
C’était la rose d’un seul vent
C’était la rose unique d’un temps
Quand on lèvera le voile
Sur toutes nos vérités
Quand on peindra la toile
De ce qu’on a semé
Quand on fera le compte
De tant d’erreurs cachées
Quand on se rendra compte
De tout ce temps gâché
Pour apaiser nos âmes
Il nous faudra lutter
Tous ensemble et égaux
Sur la route difficile
Pour apaiser nos âmes
Il nous faudra lutter
Tous ensemble et égaux
Sur la route difficile
POUR APAISER NOS AMES
Quand on saura pourquoi
Tant de vies, tant de drames
Quand il n’y aura pas
Trop de joie mais de larmes
Quand on aura détruit
Peu à peu, toutes nos chances
Quand on perdra l’envie
De fêter l’innocence
Pour apaiser nos âmes
Il nous faudra lutter
Tous ensemble et égaux
Sur la route difficile
Pour apaiser nos âmes
Il nous faudra payer
Tous ensemble pas de trop
Sur la route difficile
Un matin, il y aura
Au dessus de nos vies
Un endroit comme là-bas
Fait comme le paradis
En attendant ce pas
Que nous ferions ainsi
Je reste celle-là
Pour l’enfant à qui je donnerai vie
Pour apaiser nos âmes
Pour apaiser nos âaaaaaaaames
Tout auréolée de lumière
Ta présence éphémère
Tout entier en moi ton mystère
Tel un ange, tel un ange
Tu m’offres un voyage peu banal
M’emmène vers une ère idéale
Tu devines parfois quand j’ai mal
Tel un ange, tel un ange
Ton regard affectueux
Qui se penche sur ceux
Appauvris ou malheureux
Reste auprès de moi
Toute ma vie
Je t’en prie
Reste auprès de moi
A l’infini
Mon ange à moi
Tu me parles sans demander
Nul ne sait ce qui m’est avouée
Seulement je ne veux tricher
Tel un ange, tel un ange
Sur la terre, tu m’aides à trouver
Dans les cieux, un guide chaleureux
Mon vrai chemin, ma vérité
Tel un ange, tel un ange
TEL UN ANGE
Ton regard affectueux
Qui se penche sur ceux
Appauvris ou malheureux
Reste auprès de moi
Toute ma vie
Je t’en prie
Reste auprès de moi
A l’infini
Mon ange à moi
Dans le bruissement des feuilles
Où chuchote le vent
Vint un Pierrot lunaire
Descendu de son arbre
Adossée contre lui
Je lui jette mes mots
Que je verse dans l’oubli
Comme des cailloux maudits
Cailloux jetés à l’eau
Epousant la rivière
Quelques pierres de ma peau
Aux regrets rouge-amers
Compagnons de mes peines
Comédiens du mensonge
Traitres fous dans mes veines
Ennemis de mes songes
Comme une femme qui combat
Contre, quelques peines aux creux de ses bras
Comme si j’avais le monde à refaire
Une figurine solitaire
FIGURINE SOLITAIRE
Des bouteilles à la mer
Oubliées dans les vagues
Bijoux de sang de pierre
Qui dérivent et divaguent
Dans le souffle du temps
Où murmure l’automne
S’en va Pierrot lunaire
Sous l’ombre de mon arbre
Comme une femme qui combat
Contre, quelques peines aux creux de ses bras
Comme si j’avais le monde à refaire
Une figurine solitaire
Comme une femme qui combat
Contre, quelques peines aux creux de ses bras
Comme si j’avais le monde à refaire
Une figurine solitaire
S’en va Pierrot lunaire
Messager de mon arbre
Un carré de tournesol
Ou l’homme a laissé son cœur
Pour l’amour de ces autres
Où chacun trouve du bonheur
Une moisson achevée
Mémoire des bras épuisés
Le souvenir bien gardé
En sommeil jusqu’à l’été
Et quand le temps des épreuves
Nous déleste du passé
Que la pluie cesse son œuvre
Restent nos mains pour prier
J’aimerai déjà, pouvoir
J’aimerai pouvoir
Réécrire ‘histoire
J’aimerai déjà, pouvoir
Réécrire l’histoire
Réécrire l’histoire
Mais quand les eaux apaisées
Ont cessé de se calmer
Les tourments manifestés
Sous les affres du danger
Tourbillons de maux cruels
Tempêtes achevant le ciel
Douleur de notre sort
Porte malheur et …encore
REECRIRE L HISTOIRE
Je voulais déjà, pouvoir
Je voulais pouvoir
Réécrire ‘histoire
Je voulais déjà, pouvoir
Réécrire l’histoire
Réécrire l’histoire
Alors qu’a donc notre Terre
Pour renforcer sa colère
Sur les hommes restés à terre
Soumis à ce bras de fer
Nous sommes-nous tant trompés
?Lorsque en jetant les dés
Nous pensions donc maitriser
Toute cette immensité
Je voudrais encore, pouvoir
Je voudrais pouvoir
Réécrire l‘histoire
Je voudrais déjà, pouvoir
Réécrire l’histoire
Réécrire l’histoire
Réécrire l’histoire
Réécrire l’histoire
Une ombre a traversé
La fraicheur de nos espérances
Cette poussière nous a volé
La certitude de nos croyances
POUSSIERE DE VERRE
Comme un verre en mille éclats
Mon cœur souffre de ce combat
C’est dans mon amour pour toi
Que ma vie trouve son « la »
Comment faire face à ce poids
Faire celle qui ne voit pas
Qu’une blessure est en moi
Et qu’elle m’éloigne de toi
S’il suffisait de balayer la poussière
S’il me fallait recoller les morceaux de verre
Je te dirais simplement
Que dans mes plus grands tourments
Elle nous a eus
Cette poussière de verre
Je veux bien recomposer
La tragédie des enfers
Pour nous mettre à l’abri
De ce qui nous a détruits
L’amertume devient ma mère
Sans lutter dans ce chaos
Couleur noire devient lumière
Si l’on sait voir le beau
S’il suffisait de balayer la poussière
Si je pouvais recoller les morceaux de verre
Je te dirais simplement
Qu’au fond de ce grand tourment
Elle m’a vaincue
Cette poussière de verre
S’il suffisait de balayer la poussière
Si je pouvais recoller les morceaux de verre Je te dirais simplement
Qu’au fond de ce grand tourment
Elle m’a vaincue
Cette poussière de verre
A regarder passer
Les souvenirs voler
Sur une feuille morte
Qu’une saison emporte
J’ai enveloppé mes mots
Dans un tissu de peine
Toi qui regarde d’en haut
Couler mes matins blêmes
J’ai refermé mon cœur
Qu’un orage a brisé
Mes sanglots et mes pleurs
N’y pourront rien changer
Et puis je vois
Autour de moi
Brille une toile
L’artiste peintre
Qui de ses doigts
M’offre les étoiles
Le magicien
Entre ses mains
Orchestre un chant d’étoiles
LE MAGICIEN
A regarder derrière
Les souhaits inachevés
Faire tomber les barrières
De ce sentier rongé
Par le manque de tendresse
Celle que tu as laissée
En partant sans adresse
Que j’ai en vain cherchée
Mais comme un doux poème
Quand le ciel m’étincelle
Mes bleus à l’âme viennent
Chasser les hirondelles
Et puis je vois
Autour de moi
Brille une toile
L’artiste peintre
Qui de ses doigts
M’offre les étoiles
Le magicien
Entre ses mains
Orchestre un chant d’étoiles
Quelques saisons s’entremêlent
Dans un reflet éternel
Fabuleuse et belle danse
Témoin secret de l’enfance
Tourbillon fou des années
La mémoire de nos ainés
Comme le torrent qui déverse
Le temps en une seule averse
Et je lis, l’amour indélébile
Qui gracile
Donne une lueur dans nos yeux
Et je sais, le courage invincible
Qui habile
Met cette force dans nos yeux
Met cette force dans nos yeux
DANS NOS YEUX
Miroir de nos combats
Valse tendre d’un émoi
Amis des jours écoulés
Figure du temps passé
De la beauté à la peine
Toute vision reste vaine
Si l’on ne peut regarder
Tant que l’on ne sait pas aimer
Et je lis, l’amour indélébile
Qui gracile
Donne une lueur dans nos yeux
Et je sais, le courage invincible
Qui habile
Met cette force dans nos yeux
Met cette force dans nos yeux
Dans nos yeux
Dans nos yeux
Il y a le monde
Il y a la joie, la peine
Tout ce qui fait que l’on s’aime
Dans nos yeux
Dans nos yeux
Il y a le monde
Il y a la joie, la peine
Tout ce qui fait que l’on s’aime
Tout ce qui fait que l’on s’aime
Je fonce désespérément dans l’abîme
Comme un poète fatigué de ses rimes
Je marche, je rampe, je m’accroche à la vie
Dans l’espoir de vivre, un jour, ce paradis
Choisir comment être ou être pour choisir
N’ayant trouvé de réponse, je préfère fuir
Se faire tout petit et ne pas déranger
Ou vaincre au risque de ne pas être aimé
Je joue
Je joue
Un rôle le matin, un autre le soir
Je m’sens perdu dans ces costumes
J’aimerai que tout ça soit illusoire
Pour pouvoir dire que je m’assume
Saurais-je un jour à qui ce corps
Appartient-il réellement ?
Au dessus de moi tous ces décors
Un comédien y passe le temps
Un comédien y passe le temps
JE JOUE
Je suis parfois l’or mais demeure ce pantin
Drôle et désabusé regardant au loin
S’il existe un endroit ou personne ne joue
Où la corde qui nous étrangle se dénoue
Je joue
Je joue
Un rôle le matin, un autre le soir
Je m’sens perdu dans ces costumes
J’aimerai que tout ça soit illusoire
Pour pouvoir dire que je m’assume
Saurais-je un jour à qui ce corps
Appartient-il réellement ?
Au dessus de moi tous ces décors
Un comédien y passe le temps
Un comédien y passe le temps
Je joue
Je joue
Un rôle le matin, un autre le soir
Je m’sens perdu dans ces costumes
J’aimerai que tout ça soit illusoire
Pour pouvoir dire que je m’assume
Saurais-je un jour à qui ce corps
Appartient-il réellement ?
Au dessus de moi tous ces décors
Un comédien y passe le temps
Un comédien y passe le temps
Tous mes pas se sont inscrits
Dans le ciment de la vie
Tous mes choix étaient écrits
Dans la sagesse infinie
J’ai dans le creux de mes mains
Toute l’histoire de mes vies
Passé, présent et la fin
L’éternel est-il ici ?
J’ai dans les doigts
La langue des oiseaux
Je porte en moi
Les écrits de « Hugo »
Et ma plume m’invite
A dire tous mes maux
Plume bleue-mauve
Plume bleue-mauve
PLUME BLEUE MAUVE
Oui, je voudrais vous dire
Ce qui est en sommeil
Des pensées aux souvenirs
Qui souvent m’émerveillent
A la source du juste
Vieille âme qui revient
Accompagner l’injuste
Dans les traits d’un destin
J’ai dans les doigts
La langue des croyants
Je me souviens d’avant
De ce temps
Ma plume guidant mes pas
Mieux qu’un homme qui voit
Plume bleue-mauve
Plume bleue-mauve
Plume bleue mauve
UN SOUFFLE DE VIE
Et l’hiver s’avance
Comme l’intrus en silence
Et recouvre de blanc
Nous laisse un sentiment
D’impuissance et d’attente
Dans les heures latentes
Au plus loin du dedans
Il nous reste…………un souffle de vie
L’automne en robe longue
Des couleurs infinies
Nous nargue de son audace
Et puis nous ébahit
Jalousant son génie
A tout réinventer
Des tableaux sans pinceau
Il nous donne……….un souffle de vie
Un été qui s’affole
Un papillon qui vole
Manège des couleurs
Tourbillon pour s’aimer
Amoureux enlacés
D’un doux parfum feutré
Qui s’échappe en nuées
Il nous offre ………un souffle de vie
Le printemps arrivé
Séducteur à ses heures
L’empreinte du bonheur
Les oiseaux enrôlés
Au plaisir de nous jouer
Des musiques apaisées
Des scènes improvisées
Il nous conte………..un souffle de vie